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Tu viens de recevoir un hibou !

- Bienvenue à Poudlard ! Le banquet de début d'année va bientôt commencer mais avant que vous preniez place dans la Grande Salle, vous allez être répartis dans les différentes maisons. Cette répartition constitue une cérémonie très importante. Vous devez savoir, en effet, que tout au long de votre séjour à l'école, votre maison sera pour vous comme une seconde famille. Vous y suivrez les mêmes cours, vous y dormirez dans le même dortoir et vous passerez votre temps libre dans la même salle commune. Les maisons sont au nombre de quatre. Elles ont pour nom Gryffondor, Poufsouffle, Serdaigle et Serpentard. Chaque maison a sa propre histoire, sa propre noblesse, et chacune d'elles a formé au cours des ans des sorciers et des sorcières de premier plan. Pendant votre année à Poudlard, chaque fois que vous obtiendrez de bons résultats, vous rapporterez des points à votre maison, mais chaque fois que vous enfreindrez les règles communes, votre maison perdra des points. A la fin de l'année scolaire, la maison qui aura obtenu le plus de points gagnera la coupe des Quatre Maisons, ce qui constitue un très grand honneur. J'espère que chacun et chacune d'entre vous aura à cœur de bien servir sa maison, quelle qu'elle soit.
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 Les gages...

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Tyä Von-Devis
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MessageSujet: Les gages...   Les gages... EmptyMer 18 Nov - 22:13

1er gage : erreur commise le 17/11/09 à 20H04. Sentence donné le 18/11/09 à 21H15.

A Nikolas Krum alias Momo le kéké.

Commencement :

Melinda se rendait chaque jeudi au zoo avec ses parents. C'était une petite fille douce et très gentille, et sa famille avait toujours plaisir à l'emmener aux endroits qui lui plaisaient. Sa sortie préfèrée : le zoo. Elle aimait voir tout ses animaux que vous ne pouviez croiser nulle part ailleurs. Les oiseaux tropicaux avec leurs magnifiques couleurs, les petits singes rigolos qui grignotaient des cacaouettes, les zèbres qui vous donnaient le tournis avec leurs rayures si parfaites, les lions avec leur allure de roi de la jungle... C'était son hobbie, sa passion, voir de beaux animaux, les observer pendant de longues heures, et parfois les nourrir.
Ce jour là, cependant, elle rencontra un animal pour le moins étonnant dans un lieu comme celui-ci...
Melinda s'approcha de lui, et ne put s'empêcher d'afficher une grimace de dégout. Qu'est-ce qu'un monstre pareil faisait ici ? La petite fille attrapa la main de sa maman et se cacha derrière elle.


Maman je veux pas le voir il est pas beau !

Maman rassura sa petite fille et s'avança vers le soigneur.

Qu'est-ce que ce porc fais dans un zoo ?

C'est un porc très spécial, une race très rare venant du Tibet. C'est plutot grognons et assez féroce, mais c'est une éspèce en voie de disparition...

( Tu m'étonne ! )

... et c'est un honneur pour nous d'en avoir un au zoo !

La petite fille s'approcha de la grille. Le vieux porc leva la tête. Melinda faillit pousser un cri quand elle vit sa laideur. La bête cracha et se roula dans la boue en émettant un gémissement strident. Il n'y avait rien de plus laid et de plus abominable à voir...





Morgan, ton gage est de continuer ce RP. Tu incarnera, le magnifique porc du zoo. Soit inspiré et écrit nous minimum 20 lignes !


Dernière édition par Tyä Von-Devis le Ven 20 Nov - 20:29, édité 1 fois
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MessageSujet: a   Les gages... EmptyVen 20 Nov - 16:29

Aujourd'hui était une journée idyllique pour Raymond -ça! c'est un vrai nom de porc, mon gars... ! Une belle journée de gros cochon ! Le soleil brillait, la boue était bien vaseuse, et le son gras de ses pets de porc le satisfaisait au plus haut point. Bref, une bonne journée bien pépère comme il le fallait en perspective...

Raymond le gros cochon était un porc de pure race. Une race vraiment pas commune, l'un des dernier de son espèce. Il était tellement unique qu'il séjournait dans un zoo, cela expliquait son statut... Il avait droit à de fins traitement, sa boue était bien gélatineuse et odorante, on le nourrissait des meilleurs aliments de cochons. Il menait une vie de gros porc enviable...

Aujourd'hui, au zoo, on vit pas mal de gens. Dès le petit matin. Raymond avait vu défiler de belles brochettes de têtes...
Des gros, des jaunes, des petits, des blancs, des maigres, des noirs, des moches, des grands.
Un beau festival, en somme.

Tout allait dans le meilleur des mondes, jusqu'au moment où, chose impensable pour ce vieux cochon, une jeune fille, aussi haute qu'une bouse, approcha son enclos. Même si le cerveau de Raymond se limitait, pour la plupart du temps, au deux seuls instincts qui l'habitait c'est à dire manger et se fourrer dans la boue goulument, il fut assez observateur pour voir que la fillette avait l'air vraiment intriguée et pour le moins surprise de voir un porc dans un zoo...
Quelle ignorante ! Si elle savait... Raymond valait le coup !


... et c'est un honneur pour nous d'en avoir un au zoo !

Max le préposé par nettoyer ses crasses de porc, était adorable quand il le voulait. Un peu stupide peut-être mais serviable et agréable à vivre.

... Il sait faire des choses incroyables ce porc ma petite, tu sais !

Mais la naine semblait dubitative... Un signe de la part de Max et Raymond compris qu'il devait entrer en scène. Avec une non-chalance à en faire frémir le babouin au cul rose de la cage d'en face, que Raymond se mit rapidement sur ses deux pattes arrière et fit quelques pas comme tous les être humain avaient l'habitude de se déplacer.

Oh ! Stupéfiant !...

La mère applaudissait d'admiration, quelle idiote ! Si Raymond se trouvait dans un zoo se n'était certement pour ces quelques ridicules pas.

Allez Raymond ! Remues-toi le groin, gros porc et épate-nous !!

Max mit la chaine-hifi en marche, les premières notes. Raymond était prêt. Il attendait avec délectation il s'exécuta devant les yeux effaré des deux femmes.

"Dale a tu cuerpo alegria Macarena
Que tu cuerpo es pa' darle alegria y cosa buena
Dale a tu cuerpo alegria, Macarena
Hey Macarena
"

Bras tendus, croisés, derrière de tête, déhanchement du bassin, mains sur la tête sur la taille, croisées, sur le postérieur, un mouvement obscène et... HOP demi-tour !

Oh ma parole ! I... Il...

Il danse la Macarena, oui...!

La mère et la petite affichaient un visage tellement ébahie que leur tête en était presque comique.

On appelle cette race les porcium macarenum, une race en voie de disparition...

Alors que les deux divergeaient, Raymond, en semi état de transe, continuait sa chorégraphie. Il bougeait avec rythme ses pattes avant et remuer du bassin avec entrain, les yeux mi-clos, il jouissait avec intensité de ce pur moment de musique. Rien ne le mettait plus en joie que de dandiner du croupion. Il frémissait du groin jusqu'à bout de sa petite queue tortillée, il aimait ça. Se trémoussait était plus grande joie, dès lors qu'il entendait les premières notes de musique de ce seul et unique son et ne pouvait s'empêcher de montrer ses talents parmi sa boulliasse crasseuse. Il se sentait bien. Il se sentait LUI : un porcium macarenum...
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyVen 20 Nov - 20:28

MDR Morgan t'es trop fort ! N'importe quel situation tu sait gérer. J'adooore !

Vivement ton prochain gage Wink

Gage de kéké terminé et validé le 20/11/09 à 19H28 !
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyJeu 26 Nov - 18:19

2e gage : erreur commise le ??/11/09 à ??H??. Sentence donné le 26/11/09 à 16H40.

A Amaëlle Lestrange alias la "pas gentille" serpentarde Razz xDDDD


Neuf mois. Neuf mois à porter cet enfant, neuf mois à caresser son ventre. Neuf mois de calme quiétude. D'attente. Car oui, l'attente était grande. Le papa s'imaginait déjà avec un petit fiston qu'il irait voir jouer au foot, un petit fiston avec qui il parlerait plus tard de filles. La mère se voyait avec sa petite princesse. Elle se voyait déjà en train de lui confectionner une belle robe de fée, elle se voyait en train de la consoler d'un lourd chagrin d'amour.
L'amour.
L'amour était omniprésent dans ce couple de futur parents. Dans cette famille de bientôt trois membres. L'amour avait déjà accompagné les neufs premiers mois de l'enfant, de sa confection à son arrivée imminente. L'amour l'avait guidé. L'amour l'avait transporté et cet enfant baignait d'or et déjà, alors que le bout de son nez n'avait pas encore humé l'air pur de l'extérieur, dans un océan de tendresse. Tout était simple. Tout était si beau... Le porter, sentir un pied cogner. Sentir la vie !...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

POUSSEEEEEEEZ !!! MAIS POUSSEZ NON DE DIEU !!!!!!!!!

HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN !!!!!!!!!!!!!!!!!!

La douleur était insupportable ! Sortir cette chose qui avait habitait son être était une affaire trop difficile. En vérité, cela était surhumain. Mais il fallait vaincre cette terrible souffrance et extirper une bonne fois pour toute ce monstre qui avait scouaté son ventre !
Eïleen devait expulser hors de son être cette bête ! Mais la chose ne semblait pas partager l'avis public !
Ça voulait rester à l'intérieur !! Çà ne voulait pas sortir ! Mais quelle horreur, mon Dieu quelle calvaire !

Madame McFlück ! Soufflez... SOU-FFLEZ... SOUFFLEZ !!!

MAIS VOUS NE VOYEZ PAS QUE ÇA NE VEUT PAS SORTIR DOCTEUR !!!!! Vociféra la future mère.


La rage était équivalente à l'épuisement. Eïleen en avait plus que marre de "POUSSER !" "POUSSER !". Tout ce qu'elle aurait aimée faire c'était d'arracher la tête de ce foutu médecin et de ses misérables infirmières aussi ! Une belle bande de cruches !
Cela était facile pour eux de donner tous ces satanés "conseils ! On voyait bien que ce n'était pas à eux que l'on demandait de lancer un boulet de canon !!


SORS ! ORDURE, SORS ! Cria désespérément Eïleen à son ventre.

Mais ses paroles semblaient vaines : la créature restait vicieusement terrée...

MA LAPINE !! Je t'en pris calme-toi et POUUUUUUUUUUUUUUUSE !!!

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! Ferm-la-a-a-a-aAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!

JE VOIS LA TÊTE !!!!!

OUI !! TU VAS L'AVOIR CHÉRIE ! TU VAS GAGNER !! SORS CE TRUC QU'ON EN FINISSE !!!...

ALLEZ-Y, POUSSEZ !! ENCORE UN EFFORT !! L'ultime effort madame ! L'effort du combattant !!

POUSSE MA CHÉRIE !!

POUSSEZ !!

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Des pleurs. Lointains et étouffés. Eïleen ne vit plus la lumière aveuglnte des néons blanc, tout se brouilla, le néant s'empara d'elle. Il fallait qu'elle se repose et au Diable ce morveux elle verrait si toute ce calvaire en valait vraiment le coup plus tard...


Voilà ^^ ton gage sera -ne sera pas celui qu'on pense^^- de réécrire ce passage mais avec le point de vue du bébé qui ne veux pas sortir !!! Very Happy
xD Amuse-toi bien !! ^^

A oui ^^ :
Titre de ce gage : Le miracle de la vie...
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyDim 29 Nov - 17:26

Vous êtes encore plus sadiques que moi!! Vous le paierez!!

9 mois. 9 mois qu'il attendait. 9 mois qu'il repoussait les limites de la chair qui l'entourait, 9 mois qu'il attendait de voir le monde, ce monde qu'il n'entendait que depuis quelques temps, mais qu'il avait tant envie de connaître... Tant de temps passé à entendre la voix de sa mère, cette personne à qui il devait la vie, tant de temps à setir les légères caresses de ses mains à travers la paroi du ventre. Tant de jours à aimer cette personne qu'il n'avait jamais vue, à vivre grâce à elle. Tant d'heures à attendre de quitter ce lieu pourtant hospitalier, pour enfin voir le monde, ce monde dans lequel il évoluait depuis 9 mois sans en avoir vraiment conscience.
Eh oui, certaines personnes vous diront que les bébés ne pensent pas, que ce n'est qu'en grandissant que ça s'apprenait. Mais non. La conscience est un don inné chez les bébés, tous les bébés. Et voilà que le grand moment était arrivé. Il avait vu la lumière, l'avait sentie à travers ses paupières closes. Il avait eut peur.
Pourquoi sortir? s'était-il demandé. Pourquoi sortir de la chaleur et du bien-être qui l'enveloppaient pour sentir la morsure du froid, la luminosité blafarde des néos des hôpitaux? Il entendait l'auteure de ses jours hurler, pleurer. Etait-ce sa faute? Lui fesait-il mal? Il ne voulait pas sortir, non, le monde extérieur lui fesait peur. Mais tout le monde hurlait autour de lui, pourquoi ne le laissait-on pas en paix dans cet endroit si accueillant?
Il sentait la douleur de sa mère, il sentit les larmes de son père aussi bien que si elles sortaient de son propre corps. Il se recroquevilla, ignorant tout, voulant retrouver la quiétude des lieux de son évolution. Pourquoi voulait-on qu'il sorte? Il entendit aussi une voix étrangère à celle de ses parents, une voix grinçante et repoussante. Il avait envie de pleurer, mais il ne savait pas encore inspirer par lui-même l'air que sa mère lui envoyait à chaque seconde...
Il glissait. Inexorablement. Il glissait sans pouvoir faire quoi que ce soit, il glissait, pieds en avant vers la blancheur de ce qui allait être son lieu de vie pour encore quelques temps.
Il vit des visages souriants, un visage masculin, et un vieux...
Un éclat brilla sur un instrument étrange, qui s'approcha du lien qui le reliait encore à sa mère...
Douleur. De l'air entra dans ses poumons, lui brûla les sinus, et enfin il pu pleurer. Il vit sa mère, inerte, sur un lit blanc, il vit les mains de son père pleines de sang. Il vit des larmes rouler sur les joues de l'homme, il vit la vieille sourire. Sa mère! sa mère! Pourquoi ne bougeait-elle plus? Pourquoi tout le monde le regardait? Il voulait retourner dans sa mère, quitter ce lieu inhospitalier... Il se sentit bouger, mais il ne contrôlait rien. On l'approcha de sa mère, qui ne bougeait toujours pas. On le posa sur son ventre, dans le creux de l'un de ses bras. Elle releva la tête, sourit.
Elle avait les yeux remplis d'amour. Pourtant, il l'avait faite souffrir, elle avait hurlé par sa faute... Il ne comprenanit pas.
Une main se posa sur son dos, et il reconnut le toucher de son père. Un léger sourire naquit sur les lèvres des trois personnes, de la nouvelle petite famille. L'infirmière s'éclipsa, et les yeux du petit se fermèrent.
Finalement, le monde de Dehors n'était pas forcément si mal....
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyDim 29 Nov - 17:30

Super Amaëlle Bravo j'adore c'ke t'a écrit ! Tu nous surprend de jour en jour lol !

Gage terminé et validé le 29 novembre 2009 à 16H30.
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyDim 29 Nov - 17:40

Merci Tyä Smile

vous le paierez en RP Smile (sourire sadique)
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyDim 29 Nov - 18:56

Tu t'en es très bien sortie ! Very Happy
Bravo !
(Pk on le payera ? Tu ne t'es pas amusée ?? xD)
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptySam 19 Déc - 16:14

3eme gage : erreur commise le 19/12/09 à 14H. Sentence donnée le 19/12/09 à 15H07.

A Xuan Wong alias Momo le kéké.

Commencement :

Bernard aimait son job. Il l'aimait vraiment. Personne ne l'enviait, mais lui il était satisfait. Après tout il fallait de tout dans la vie non ?
Bernard avait soixante dix huit ans. Il avait été marié pendant trente ans, et était devenu veuf voilà dix ans de cela.
A présent, il cultivais des poireaux. Oui des poireaux. Bernard raffolais des poireaux ! Il en faisait de tout : il les farcissait, en faisait de la soupe, les mangeaient cru, cuis, qui y'avait t-il de plus bon que le poireau ?
Oui, Bernard ne le cachait pas. Il était fan des poireaux, le plus fan possible et immaginable. Les voisins le traitait de fou, lui se qualifiait simplement d'original, d'exceptionnel...
Enfin bref, aujourd'hui, comme chaque jour. Il s'était levé tôt pour cultiver ses bien aimés poireaux. Cependant, ce jour là, quelque chose d'inhabituel se produisit. Bernard ne faisait qu'un avec ses poireaux, il aimait communiquer avec eux, mais bien sûr c'était une conversation à sens unique. Cependant, ce jour là, alors qu'il déterrait un tout nouveau poireau, celui-ci lui répondit...



Kéké, tu imaginera la conversation entre le poireau, et Bernard. XD
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyDim 20 Déc - 0:44

Bernard s'était levé très tôt en effet, il avait éteint son radio-réveil en poireau rigolo -avec de gros yeux bleu tout mignon- avec fougue. Aujourd'hui c'était l'heure de la récolte : et les poireaux, ça n'attendait pas !
Bernard arriva bien vite dans sa cuisine, sorti son bol fétiche : un magnifique dessin fait main représentant un jeune poireaux le décorait, il versa sa petite ration de soupe de poireaux et étala sur ses tartine sa confiture de poireaux : une spécialité de la maison : divin !
Après s'être rassasié, le vieux Bébert fila vers l'évier de la cuisine pour se laver car il n'avait pas de salle de bain -quelle importance ?- il se savonna avec son savon aux poireaux -qui exhalait un parfum subtil et délicat- et enfila sa plus belle salopette, une verte, verte comme un beau poireaux du potager de Bernard... Il devait être resplendissant pour cultiver ses amis les poireaux ! Avant d'entrer dans le jardin, près de la porte d'entrée il regarda une vieille photographie qui représentait un jeune couple le visage empli de bonheur.

Le bon Bébert commença alors à accomplir la tâche. Une tâche qui ne l'incombait guère et qui prenait plutôt le chemin d'une distraction sans besogne. Une tâche, un loisir qu'il exécutait depuis maintenant une dizaine d'années avec la même fébrilité, la même passion, la même émotion. Lorsqu'il arrachait un légume sacré de la terre, c'était pour lui comme s'il mettait au monde un enfant, comme s'il sauvait la vie ou bien qu'il la donnait...

Il parlait à ses beaux légumes. Oui, et il le faisait sans se sentir aucunement idiot car ce n'était pas lui, mais bien les autres, qui l'était si n'arrivait pas à comprendre ce que cela comptait pour le pauvre et vaillant Bernard...
"Bonjour ma douce", "comment vas-tu ?" "je vais te cuisiner avec amour, ma jolie, tu seras traitée avec grâce" disait-il le plus souvent.
Mais aujourd'hui, alors que le soleil répandait des doux rayons orangés, que a terre était meuble et fertile, qu'il saluait un de ses poireaux, qu'il lui souhaitait la bienvenue en dehors de la terre. Le légume, aussi invraisemblable que cela puisse paraitre fit une chose ce que jamais Bébert ne cru voir de sa vie.

B... Bernard?... Mon amour, je suis si heureux de pouvoir converser avec toi...!

Bernard secoua la tête, n'en cru pas ses yeux, des larmes de bonheur vinrent brouiller sa vision. C'était elle. Il reconnaissait la voix sa belle Huguette. Elle était là ! Elle lui parlait ! Un poireaux qui avait la douce voix de sa défunte épouse.

H... Huguette ! Oh mon Dieu... c'est... Ma colombe, c'est si bon de te t'entendre ! J...Je n'arrive pas à le croire, Dieu soit loué !...

Des larmes coulèrent sur sa joue et Bernard avait peine à articuler tant elles étaient abondantes, que sa surprise était entière et son bonheur à son comble.
Accroupi dans son petit potager, parmi la terre en friche et les minuscules pousses de légume encore fêle et jeune, il prit délicatement le beau poireau, l'étreignit et pleura de joie, il tremblait de tous ses membres et tentait de ravaler ses larmes pour entendre la voix sourde provenant du légume.

Mon Bernard... Si tu savais comment suis heureuse, il fallait que je te parle, que j'entende ta voix...

Oh mon amour... Pardonne-moi j'aurais tellement aimé t'embrasser une dernière fois... Je t'aime. T... Tu me manque tellement...

Mon chéri, je voulais te dire que je vais bien, que je suis heureuse et... que chaque jour, chaque matin je veille sur toi... J'étais été comblée avec toi à mes côtés, tu as fait de ma vie un conte de fées...

Mon Huguette... Pourquoi l'on a enlevée mon Huguette... Chaque jour je ne cesse de penser à toi... Je passe le temps en cultivant poireaux et espoirs... Ma vie n'a plus de saveur.. Je te veux à mes côtés...

Ce fut des torrents de larmes qui vinrent mourir sur la terre battue, et un homme tremblant de tout son être, âgé et seul avec ses souvenirs, solitaire, serrant avec force et passion ce petit légume magique qui avait fait revivre la femme qui avait fait de sa vie une aventure extraordinaire.

Hu... Huguette... Je t'aime et je t'aimerais pour toujours, arrivera un jour ou je te rejoindrais là-haut, dans ce grand potager céleste et nous seront de nouveau réuni...
Tu m'entend mon Huguette...?


Mais le légume ne répondit pas, il restait stoïque et on avait du mal à croire qu'il avait été un instant une source magique tant son aspect de poireau était banale.

Bernard ravala ses sanglots, serra le plus fort qu'il le plus le végétal, regarda le ciel et se mit un sourire avec sérénité. Remerciant la personne qui avait permis au vieillard de revivre un instant, de pouvoir reparler à son Huguette qu'il aimait tant, et qu'il aimerait pour toujours...

[J'me suis dit on s'attend à un truc rigolo avec moi, j'ai donc voulu montrer que je savais faire des truc plutôt triste aussi... J'espère que ça à marché, pi bah si vous avez rit en lisant ça.. :S Tant pis xD Au moins vous aurez ressenti quelque chose...! ^^ Moi en tout cas quand je l'ai écris limite j'avais envie de chialer MDRRR <3 ]
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptyLun 21 Déc - 0:01

Bravo kéké ! C'était super !

Gage terminé et validé le 20/12/09 à 23H01
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptySam 2 Jan - 17:36

3e gage : erreur commise le 2/01/10 à ??H??. Sentence donnée le jour même à 16H04.

A Morgan (Haha, vengeance =P )



Il faisait froid, la neige tombait à gros flocons. Dehors, la pleine lune était levée, et les loups hurlaient dans le lointain. Gilbert Natassaou, assis devant la cheminée, buvait un grand café au lait en regardant le JT du soir.
Nous sommes dans les Alpes, dans un petit chalet de bois perdu au milieu d'une forêt de sapins. Nous sommes le 23 décembre, le ravitailleur est passé ce matin livrer une dinde aux marrons et des pommes de terre pour le repas de Noël. Le 24 au soir, la famille de Gilbert viendrait le rejoindre pour ouvrir les cadeaux, dîner et rire ensemble. A cette pensée, Gilbert soupira: il n'avait pas vu sa famille depuis lannée dernière, et se sentait bien seul depuis la mort de sa femme Laurette, et le départ de ses enfants. Il ne lui restait que Taoma, sa vieille mule, Chikita, une vieille chienne berger allemand, son chiot bâtard Natsui, de 1 ans, et Muftik, son cheval de trait, logé avec la mule dans la grange derrière la maison. La chienne était couchée à ses pieds, et le chiot, assis devant le feu, contemplait les flammes, fasciné, lorsque Gilbert bondit, recrachant sa gorgée de café sur la chienne, qui glapit de fureur et entreprit de se lécher consciensieusement. Mais Gilbert ne fesait pas attention à elle, non, il venait de se rendre compte de quelque chose d'horrible...

IL N'AVAIT PAS ENCORE FAIT LE SAPIN!!!!

Tel qu'il était, la chose ne pouvait pas attendre. Il ne pourrait se reposer que lorsque le sapin serait fait. Il se leva, trébucha sur la pauvre Chikita qui ne savait plus où se mettre, enfila ses gants, son écharpe, un pull, son manteau, un cache-nez, un cache-oreille, une paire de chaussettes de ski, bourra ses chaussures de marche de coton chaud, attrapa sa hache et une lanterne moyenâgeuse et sortit, le tout dans cet ordre. Dehors, il attrapa son traîneau, un vieux traîneau de quand il était musher, y attela Taoma et Muftik et s'enfonça dans les bois, suivit de ses bêtes et de leur chargement.
Dans les bois, il entreprit de trouver un grand sapin, mais pas trop quand même, que les bêtes puissent le tirer et qu'il puisse le charger sur le traîneau.
Lorsqu'il trouva l'arbre, il entendit Taoma et Muftik hennir, terrifiés, et s'enfuir, loin du couvert des bois, avec le traîneau. Quelques secondes plus tard, des grognements et des hurlements proches se firent entendre. Il tourna la tête dans toutes les directions, jusqu'à ce qu'il trouve, cachés dans les fourrés, deux paires de prunelles couleur fauve... des loups...


Voilà, alors, ton gage sera d'incarner:
-Au début, Chikita,
-Dans la forêt, Taoma,
-Quand Gilbert est devant l'Arbre, bah L'Arbre,
-Quand les loups arrivent, un des loups
-Et pour finir, Natsui (tu le cases où tu veux!)

/!\ Gilbert ne doit pas mourir, il doit finir par faire son Noël avec sa famille, sa dinde, ses marrons, ses patates et ses animaux!!

(Je sais, c'est dur, mais c'est ton deuxième gage, et je me "venge" du bébé ()=D ! )
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Nikolas Krum
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptySam 6 Fév - 2:22

Il ne faisait pas très chaud ce soir là, c'est le moins qu'on ne puis dire. Malgré cette atmosphère glaciale qui régnait au dehors, il fallait avouer que la du maître de Chikita respirait le confort et demeurait chaleureuse et douillette. Il avait mis de belles bûches dans la cheminée et déjà un bon feu réchauffait la demeure. Chikita était dans sur son coussin, vautrée comme un bout de viande avarié, savourant avec délectation sa condition de chienne gâtée et choyée. Tout était calme et ils attendaient seulement les invités qui venaient souper le soir même. Car oui, ce jour-ci lorsque le jour serait tombé, la famille du maître de Chikita viendrait festoyer pour "Nouelle". La chienne ne savait pas vraiment pourquoi l'on s'adonnait chaque année à cet événement, ni ce qu'il représentait vraiment. Dans tous les cas, elle y trouvait son compte lorsqu'elle parvenait à finir les assiettes. Elle pouvait alors vous dire, risquer de se tromper, que ce matin le ravitailleur avait dans son sac une dinde et des pommes de terre -entre autre. Tandis qu'elle se laissait somnoler paisiblement en regardant indifféremment le petit chiot Natsui, son maître Gilbert fut alors prit une vive agitation et elle reçue sur son pelage une pleine gorgée de café, craché vigoureusement par ce satané Gilbert. Il glapit pour manifester son indignation. "Quel abruti ce Gigi ! Mais est-ce qui lui prend !? Il m'a littéralement brûlé le poil !" Consciente qu'il y avait un problème, Chikita cessa bien vite de gémir et s'inquiéta plutôt de l'état de soudaine euphorie de son maître : apparemment il avait semblerait-il omis un détail pour sa soirée car il levait les bras en s'agitant comme un dément en faisant les cent pas dans le salon.
Mais à y bien réfléchir c'était vrai qu'il manquait quelque chose dans ce salon. ... "Un arbre étrange est piquant, voilà ce qu'il manquait, quelle idiote de chienne je fais, pensa Chikita, j'aurais dû le voir et le prévenir ! " Mais à peine sortie de ses songes, Chikita vit Gilbert enfiler un manteau et lui faire signe qu'il fallait aller dehors. "On pars en balade ? Alors qu'il n'y a pas de sapin dans la ?!! Mais quel idiot, on jouera plus tard mon pauvre Gigi !"

On ne pouvait pas dire que l'ambiance était à la rigolade dans la grange pour le pauvre Taoma, déjà qu'il se les gelaient et fallait en plus qu'il soit désormais dérangé par des cris humain ?! Son maître était vraiment un tyran qui n'avait pas pitié d'une pauvre mule comme lui ! Le maître sort de son logis. "Tiens, bizarre le mec, il a le gîte, le couvert, le feu, le douillet, le propre et le calme et comme un abruti il quitte ce palace pour jouer les aventurier à la tombée de la nuit ? Quel crétin..." D'autant plus que le pauvre Taoma sentit le coup venir et il ne se trompa pas : le vieux Gilbert lui demanda de l'amener en forêt. Mais quel culot ! Il n'en avait rien à faire de ses âneries... enfin de ses bêtises plutôt !
Résigné, Taoma en bonne bête serviable se sentit obligée d'atteler le traineau et commença à s'enfoncer dans la forêt en compagnie de toute la petite troupe de bras cassés de la famille -vous voyez le tableau...
Il faisais un froid pas possible et la mule qui avait déjà chopé un rhume atroce se demanda si elle n'allait pas s'attraper une angine par là dessus ! Pourquoi allaient-ils en forêt au fait ?! Quel intérêt ? Mais les question du petit âne furent bien vite satisfaites car il vit son maître s'approcher d'un arbre, muni de sa hache, l'air satisfait. "Bah put*** tout ça pour un sapin pourri... Mon pauvre arbre t'es mal barré..."

Un homme, un hache. Un homme muni d'une hache. Un homme muni d'une hache qui s'approche de vous !!!! Pas besoin d'avoir un cerveau pour savoir le danger que cela représentait. Et quel danger ! Surtout quand on est un splendide sapin épineux type Norman à la robe verdoyante à en faire exciter plus d'une sapines. L'arbre frémissait. Non pas à cause de la brise mais tout bonnement parce qu'il était vert de peur ! Il vit la hache s'élever dans l'immensité du crépuscule comme le couperet qui s'abat sur sa victime. Avant de recevoir le coup fatal qui mettrait fin à sa vie d'arbre Tree voulu faire un vœu, le veux de tous les arbres de la terre " Je souhaite finir en terreau, je souhaite finir en terreau, en du bon composte !". Mais son ultime souhait ne fut pas utile car des cris de bêtes, genre âne ou cheval se fit entendre OUFFFFFFFFFFFF. Le terrible bûcheron cessa toute activité et se mis à regarder avec terreur autour de lui à la recherche de la chose qui avait fait fuir son attelage. Mais Tree lui savait et il riait intérieurement -bah parce qu'un arbre ça ne rit pas vraiment... C'était bien des loups !!!!...

Yofur était fière de lui mais il fallait faire vite si l'on voulait que le troupeau mange rapidement et courir après le bétail était parfois éreintant, c'était pourquoi le vieux loup décida de s'attaquer à l'humain. La chair humain était très gouteuse également... Alors vivacité il hurla sous la lune cristalline et couru la respiration haletante vers sa proie qui n'avait pas encore vu la horde de loup qui accompagné Yofur. "Ce soir c'est le festin mes frères".
Arrivé à deux mètres, tandis que l'homme venait tout juste de le voir et d'avoir ramassé une stupide branche d'arbre, Yofur bondit sur l'homme en le plaquant au sol. Le pauvre humain avait un manque cruel de vigueur qui était certainement dû à son âge avancé mais il conservait cependant une force assez étonnante. Mais Yofur eût du renfort. Alors qu'il fut renvoyé sur le sol par la simple force des bras de l'homme, le reste de la meute entoura le vieillard. Il était condamné...


Natsui avait depuis toujours eu l'âme d'un héros tapi dans l'ombre mais, bien trop petit pour faire ses preuves face à de horde de loup il jugea intelligent de ne pas partir à l'attaque tout seul.

STOP !!! Lança-t-il aux autres animaux Chikita, Taoma et Muftik avec qui il avait commencé à fuir. Il faut venir en aide à Gilbert !! Aboya-t-il.
[ Bah oui il se comprennes entre eux les animaux ^^ ]

Le gosse à raison... Admit Chikita la respiration haletante. Il est notre maître et ils nous aiment !

Au diable Gigi je retourne à mon foin !

S'il meurt tu n'auras plus de foin quotidiennement Taoma !!

Ah oui, merde... Pas con !

Ce que tu peux être bête comme âne...

Alors allons l'aider !! Cria Muftik.

Les fidèles animaux firent demi-tour et coururent à en perdre haleine jusqu'au lieu d'affrontement où Gilbert avait déjà subit la foudre des loups. Sanguinolent et à bout de souffle il semblait désormais incapable de défendre un instant de plus sa pauvre vie.

Natsui bondit au milieu de la horde et aboya de toute la force de ses poumons, suivit par la fougueuse chienne Chikita il montrèrent les dents d'un air menaçant. Mais les loups n'eurent l'air en rien impressionné. Alors que l'un des plus vieux et gros loups de la bande fondait sur le petit Natsui, Muftik s'interposa entre eux et il administra une ruade d'un extrême violence à ce loup qui s'effondra sur le sol givrée. Surpris par cette intervention, le reste de la horde prit peur et il s'enfuir sans demander leur reste.
Après un instant de silence, Gilbert se releva sous les yeux inquiets de ses compagnons.

Il me reste suffisamment de force pour abattre cet arbre...

NONNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!
L'arbre répéta son dernier souhait avant d'être coupé à son tronc. La petite famille rentra à la maison et il décorèrent tous le sapin à leur manière. Les invités arrivèrent juste au moment où Gilbert avait déposé l'étoile à la cime de l'arbre de Noël et, bien qu'il est eu la peur de sa vie, Gilbert eut une extraordinaire à raconter à ses convives...


[ MDRR c'est tellement con qu'on peut presque en oublier à quel point c'est médiocre, j'espère que j'ai bien compris la consigne... :S ]
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Tyä Von-Devis
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MessageSujet: Re: Les gages...   Les gages... EmptySam 6 Fév - 11:14

J'adooooore kéké c'est super, t'es trop fort !!!
J'ai bien ri avec le sapin mdr ! Et la petite conversation entre animaux !

BRAVO !

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